(Apparemment, elle n'a pas "enchaîné des poses de yoga" : en fait, elle s'était pris une munition non-létale dans le pied, on voit la marque rouge et elle l'a déclaré dans une interview).
Lectures Libres
Fiches de lectures de divers livres, d'une utilité discutable mais néanmoins présente, à l'usage du lecteur de gauche.
jeudi 30 juillet 2020
La nudité vainc les robocops de Portland
Vous avez vu la photo partout, et comme elle n'est pas libre de droits, je ne puis poster qu'un lien. En gros, pendant les manifs ultra violentes de Portland, cette fin de juillet, une femme nue a marché calmement vers les robocops, les as pointé du doigt puis est restée, là. Et les milichiens ont fini par calter.
lundi 17 juillet 2017
La Servante Ecarlate
Il y a bien des années, une lectrice de ce blog m'a envoyé le livre de Margaret Atwood, La Servante Ecarlate. J'ai essayé de le lire à plusieurs reprises mais je galérais. Non que c'était mal écrit mais parce que la description de l'univers du personnage me mettait très mal à l'aise. Arrive Trump, GamerGate et autres connards machistes, avec un pic global et international de machisme puant (y'a qu'à voir les commentaires débiles qui ont accompagné les sorties des nouveaux opus de Star Wars, Wonder Woman et Ghostbusters, ou la réaction d'hier à l'annonce d'un Docteur féminin*). Et on reparle d'abord, comme d'habitude, de 1984 mais, et c'est plus surprenant, de La Servante Ecarlate ("The Handmaid's Tale" en vo) : Emma Thompson en achète des exemplaires pour les distribuer, une association de défense des femmes fait un happening basé dessus à Washington, etc.
Pourquoi ? Mais parce qu'on avait pas collé autant de bâton dans les roues des femmes depuis bien longtemps (et je soupçonne fortement que la mort de Simone Weil ne va pas arranger les choses en France).
La Servante Ecarlate est le récit, à la première personne, de la vie d'une "Servante". Dans des USA du futur, une dictature "chrétienne" s'est installée et a établi un ordre des choses pour les femmes proprement affreux. Il leur est attribué un rôle définitif : Epouse, Econofemme, Martha (cuisinière, femme de chambre, etc.) ou Servante. La couleur de leurs vêtements est définie. Il leur est interdit d'apprendre à lire, etc. La catégorie des Servantes (la narratrice) est dédiée à la reproduction. Si un mariage est stérile, on fournit à un homme une Servante, qui sera chargée de porter un enfant pour le couple (la GPA mais pas pour tous, uniquement les puissants). Le rôle de la Servante, toute vêtue de rouge, est absolument limité à cela : être un "vase". La narratrice est une Servante de la première génération de femmes à subir cela. Elle a eu une vie, avant : elle avait un mari, un enfant, qu'elle a perdus dans une tentative d'évasion échouée.
Il y a un épilogue sous la forme d'une étude historique de ce roman par des historiens cent ans après les faits, qui ajoute des informations de contexte. Ce n'est pas sans faire penser à Rêves de Fer dont j'ai parlé ici aussi.
Pourquoi ce roman est-il si difficile à lire ?
Déjà parce que je découvre avec horreur que nombre d'humains sur cette terre ont de la merde puante entre les oreilles (lisez "gamergaters", "broflakes" etc.) et que l'avenir décrit n'est pas super éloigné de certains de leurs idéaux. C'est pas nouveau mais, depuis quelques années, ça a cessé de se cacher sous les pierres où ça aurait dû rester.
Ensuite parce que le récit à la première personne fait part d'une résignation qui est difficile à accepter quand on lit plutôt des romans pour s'évader. Non, la narratrice n'est pas un héros. Elle a du mal mais accepte plus ou moins son sort, en étouffant ses sanglots. Ce qui serait la réalité pour la plupart d'entre nous confrontés à toute forme de totalitarisme. C'est dur d'accepter de voir la médiocrité dans un miroir, même déformant. Et pourtant...
Enfin parce que, quand on regarde le monde : ce futur, ou une variante d'icelui, n'est vraiment pas loin, bon sang (voire, existe déjà dans certains pays).
Un roman qui n'a cessé de me retourner tout au long de la lecture. Un roman fort, qui provoque une sacrée émotion, même si désagréable, est un BON roman.
Lisez-le.
Je vais voir si je peux emprunter le film à ma médiathèque, moi...
NB : merci encore, Ivy. J'aurais dû lire ce livre bien plus tôt !
EDIT : je viens d'apprendre qu'une adaptation en série télé était en ce moment même en cours de diffusion. Je ne l'ai pas vue mais, ce que j'en entends, vous pouvez foncer. http://www.lemonde.fr/televisions-radio/video/2017/06/27/pourquoi-la-serie-the-handmaid-s-tale-est-incontournable_5151842_1655027.html
====
* : si un Docteur de sexe féminin vous pose problème, c'est que vous n'avez pas écouté ce que le Docteur vous a dit dans chaque. Putain. D'épisode.
Pourquoi ? Mais parce qu'on avait pas collé autant de bâton dans les roues des femmes depuis bien longtemps (et je soupçonne fortement que la mort de Simone Weil ne va pas arranger les choses en France).
La Servante Ecarlate est le récit, à la première personne, de la vie d'une "Servante". Dans des USA du futur, une dictature "chrétienne" s'est installée et a établi un ordre des choses pour les femmes proprement affreux. Il leur est attribué un rôle définitif : Epouse, Econofemme, Martha (cuisinière, femme de chambre, etc.) ou Servante. La couleur de leurs vêtements est définie. Il leur est interdit d'apprendre à lire, etc. La catégorie des Servantes (la narratrice) est dédiée à la reproduction. Si un mariage est stérile, on fournit à un homme une Servante, qui sera chargée de porter un enfant pour le couple (la GPA mais pas pour tous, uniquement les puissants). Le rôle de la Servante, toute vêtue de rouge, est absolument limité à cela : être un "vase". La narratrice est une Servante de la première génération de femmes à subir cela. Elle a eu une vie, avant : elle avait un mari, un enfant, qu'elle a perdus dans une tentative d'évasion échouée.
Il y a un épilogue sous la forme d'une étude historique de ce roman par des historiens cent ans après les faits, qui ajoute des informations de contexte. Ce n'est pas sans faire penser à Rêves de Fer dont j'ai parlé ici aussi.
Pourquoi ce roman est-il si difficile à lire ?
Déjà parce que je découvre avec horreur que nombre d'humains sur cette terre ont de la merde puante entre les oreilles (lisez "gamergaters", "broflakes" etc.) et que l'avenir décrit n'est pas super éloigné de certains de leurs idéaux. C'est pas nouveau mais, depuis quelques années, ça a cessé de se cacher sous les pierres où ça aurait dû rester.
Ensuite parce que le récit à la première personne fait part d'une résignation qui est difficile à accepter quand on lit plutôt des romans pour s'évader. Non, la narratrice n'est pas un héros. Elle a du mal mais accepte plus ou moins son sort, en étouffant ses sanglots. Ce qui serait la réalité pour la plupart d'entre nous confrontés à toute forme de totalitarisme. C'est dur d'accepter de voir la médiocrité dans un miroir, même déformant. Et pourtant...
Enfin parce que, quand on regarde le monde : ce futur, ou une variante d'icelui, n'est vraiment pas loin, bon sang (voire, existe déjà dans certains pays).
Un roman qui n'a cessé de me retourner tout au long de la lecture. Un roman fort, qui provoque une sacrée émotion, même si désagréable, est un BON roman.
Lisez-le.
La version qu'on m'a donnée. |
Je vais voir si je peux emprunter le film à ma médiathèque, moi...
NB : merci encore, Ivy. J'aurais dû lire ce livre bien plus tôt !
EDIT : je viens d'apprendre qu'une adaptation en série télé était en ce moment même en cours de diffusion. Je ne l'ai pas vue mais, ce que j'en entends, vous pouvez foncer. http://www.lemonde.fr/televisions-radio/video/2017/06/27/pourquoi-la-serie-the-handmaid-s-tale-est-incontournable_5151842_1655027.html
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* : si un Docteur de sexe féminin vous pose problème, c'est que vous n'avez pas écouté ce que le Docteur vous a dit dans chaque. Putain. D'épisode.
lundi 14 septembre 2015
La censure, ça ne marche pas. Jamais.
Vous êtes-vous déjà posé la question : "Mais ça sors d'où, ce sticker ?"
Eh bien au milieu des années 1980, une bande de fans de censure s'est rassemblée, comme cela arrive à chaque nouvelle lune aux Etats-Unis pour interdire/prohiber un truc nouveau. Cette fois, le sexe dans les paroles des chansons.
Au passage, c'est fou ce que les êtres humains ont des problèmes avec leur méthode de reproduction ou leur kiki, je suis sûr que tous ces gens préfèrent utiliser l'insémination artificielle plutôt que de faire la bête à deux dos mais ça impliquerait encore trop de choses sales à leurs yeux. Il leur reste l'adoption... Et il paraît que la science va bientôt fournir des utérus artificiels. Enfin des gamins obtenus sans aucune sexualité. Ils doivent piaffer d'impatience.
Passons.
En 1985 donc, la femme d'Al Gore et ses copines ont reproduit les mêmes idées idiotes que celles qui avaient mené à la Prohibition aux Etats-Unis. Peut être, d'ailleurs, que comme pour celle-ci, les politiques de l'époque avaient décidé dans les années 80 de tenter d'en faire une question clef des élections suivantes. Un peu comme tous ceux qui, aujourd'hui, exploitent la xénophobie ambiante pour se faire élire un peu partout en Europe et dans le monde.
En tout cas, le PRMC avait l'oreille du sénat (faut dire qu'on parle de la femme d'un sénateur) et essayait d'obtenir que des labels apparaissent sur les disques et cassettes, voir sur les concerts, les vidéos et, si on peut, sur le front des chanteurs, aussi, on gagnera du temps. Lors de l'audition du sénat, on notera l'intervention très intéressante de Frank Zappa, dont la transcription se trouve là. Vous pouvez aussi trouver l'enregistrement vidéo sur youtube. A lire en écoutant un album de Zappa (si possible Frank Zappa Meets The Mothers Of Prevention).
Au final, après tous ces débats, que s'est-il passé ? Hé bien les majors audio ont décidé d'elle-même de coller un label sur leurs disques. On notera d'ailleurs que il n'y a pas de loi aux US obligeant les compagnies de cinéma à faire noter leurs films (R, X, etc.) mais que les cinémas eux-mêmes refusent de passer certains films sur la base de ces notes, ce qui fait que certains réalisateurs/producteurs censurent d'eux-même pour obtenir le label PG qui permet à un film de gagner plus de sous que "R". De même qu'aujourd'hui, le marché du cinéma en Chine est devenu tellement important que les maisons de productions américaines commencent à formater les films pour ce public, jugé encore plus rentable que les US (cf. Canard Enchaîné il y a quelques semaines).
Résultat (sur tous les fronts) :
- la prohibition américaine a enrichi les trafiquants d'alcool et a dû être retiré
- les albums avec le logo ont tendance à se vendre plus que le même album sans le logo
- les murs n'ont jamais résolu le "problème de l'immigration"
- Internet, le téléchargement de musiques et films a fait plus pour la culture et les auteurs que toutes les majors compagnie sur toute leur existence.
On remarquera que pour l'alcool, la drogue, Internet ou la musique, c'est éternellement l'argument "pensez aux enfants" qui revient sur le tapis. Pour rappel, si vous voulez interdire/censurer quelque chose, quoi que ce soit, il vous faut invoquer (au moins) un des quatre cavaliers de l'infocalypse : terroristes, narcotrafiquants, pédophiles ou blanchisseurs d'argent.
Parental Advisory : Explicit Content |
Au passage, c'est fou ce que les êtres humains ont des problèmes avec leur méthode de reproduction ou leur kiki, je suis sûr que tous ces gens préfèrent utiliser l'insémination artificielle plutôt que de faire la bête à deux dos mais ça impliquerait encore trop de choses sales à leurs yeux. Il leur reste l'adoption... Et il paraît que la science va bientôt fournir des utérus artificiels. Enfin des gamins obtenus sans aucune sexualité. Ils doivent piaffer d'impatience.
Passons.
En 1985 donc, la femme d'Al Gore et ses copines ont reproduit les mêmes idées idiotes que celles qui avaient mené à la Prohibition aux Etats-Unis. Peut être, d'ailleurs, que comme pour celle-ci, les politiques de l'époque avaient décidé dans les années 80 de tenter d'en faire une question clef des élections suivantes. Un peu comme tous ceux qui, aujourd'hui, exploitent la xénophobie ambiante pour se faire élire un peu partout en Europe et dans le monde.
En tout cas, le PRMC avait l'oreille du sénat (faut dire qu'on parle de la femme d'un sénateur) et essayait d'obtenir que des labels apparaissent sur les disques et cassettes, voir sur les concerts, les vidéos et, si on peut, sur le front des chanteurs, aussi, on gagnera du temps. Lors de l'audition du sénat, on notera l'intervention très intéressante de Frank Zappa, dont la transcription se trouve là. Vous pouvez aussi trouver l'enregistrement vidéo sur youtube. A lire en écoutant un album de Zappa (si possible Frank Zappa Meets The Mothers Of Prevention).
Au final, après tous ces débats, que s'est-il passé ? Hé bien les majors audio ont décidé d'elle-même de coller un label sur leurs disques. On notera d'ailleurs que il n'y a pas de loi aux US obligeant les compagnies de cinéma à faire noter leurs films (R, X, etc.) mais que les cinémas eux-mêmes refusent de passer certains films sur la base de ces notes, ce qui fait que certains réalisateurs/producteurs censurent d'eux-même pour obtenir le label PG qui permet à un film de gagner plus de sous que "R". De même qu'aujourd'hui, le marché du cinéma en Chine est devenu tellement important que les maisons de productions américaines commencent à formater les films pour ce public, jugé encore plus rentable que les US (cf. Canard Enchaîné il y a quelques semaines).
Résultat (sur tous les fronts) :
- la prohibition américaine a enrichi les trafiquants d'alcool et a dû être retiré
- les albums avec le logo ont tendance à se vendre plus que le même album sans le logo
- les murs n'ont jamais résolu le "problème de l'immigration"
- Internet, le téléchargement de musiques et films a fait plus pour la culture et les auteurs que toutes les majors compagnie sur toute leur existence.
On remarquera que pour l'alcool, la drogue, Internet ou la musique, c'est éternellement l'argument "pensez aux enfants" qui revient sur le tapis. Pour rappel, si vous voulez interdire/censurer quelque chose, quoi que ce soit, il vous faut invoquer (au moins) un des quatre cavaliers de l'infocalypse : terroristes, narcotrafiquants, pédophiles ou blanchisseurs d'argent.
jeudi 2 avril 2015
Publi-rédactionnel
Bon, en attendant que je finisse de lire des romans dont le sujet pourrait être évoqué ici (j'avoue que j'ai besoin de joie), j'en profite pour faire un peu de pub pour un side project. Allez vas-y, clique sur l'image.
jeudi 8 janvier 2015
Ne pas devenir comme eux
Après ce qui vient de se passer hier à Charlie Hebdo, c'est tout de suite et maintenant qu'il faut maintenir les valeurs que l'on défend. Sinon on ne devient que celui qu'on réprouve. C'est là, maintenant, dans ces circonstances qu'il faut rester en faveur de la démocratie, de la tolérance, de l'ouverture.
Comme le rappelait hier un ami :
Nous allons punir le coupable. La punition, ce sera plus de générosité, plus de tolérance, plus de démocratie a dit Fabian Stang, maire d’Oslo (25/07/2011), après la tuerie de l’Île Utøya.
Ne pas sombrer dans la répression à tout crin
La répression à tout crin n'est qu'une forme d'interdiction et de limitation de la liberté et de la démocratie. Ce contre quoi se battait le journal. Ce que veut ceux qui les ont attaqués. Vouloir tout contrôler, tout surveiller comme dans un cauchemar Kafkaïen c'est d'abord réduire l'idéal de démocratie, considérer que les agresseurs ont "gagné" et leur ressembler un peu plus.
Ne pas amalgamer
Ceux qui ont attaqué Charlie ont fait un amalgame entre le journal et ses auteurs, entre la France et un de ses journaux, entre un message et un autre. Amalgamer tous les musulmans à ces trois types et ceux qui partagent leurs opinions, c'est encore une fois devenir comme eux : intransigeant et ne voyant plus les nuances. Et créant chez les amalgamés la colère, générant le risque qu'une partie amalgame aussi et aggravant ainsi le phénomène.
Ne pas avoir peur
Le principe fondamental d'une action terroriste, c'est de générer un niveau d'angoisse et de peur sans commune mesure avec l'acte en lui-même, si horrible soit-il. Avoir peur, c'est laisser "gagner" les terroristes, c'est les laisser atteindre leur but. Si certains auteurs médiocres, comme MM. Z. et H., dont on parle trop, en ont fait leur fond de commerce à défaut de savoir écrire ou d'avoir des idées, afin de faire de l'argent (s'ils croient à ce qu'ils écrivent, ça ne fait qu'ajouter la bêtise à la médiocrité), il ne faut pas se laisser aller à glisser sur une pente bien trop facile.
Ne pas "partir en guerre", ne pas se résoudre à la violence.
Déjà, le fanatisme à ce degré est plutôt le symptôme de nombreux problèmes plus profonds, où s'y réfugier apparaît comme une solution simpliste. Vouloir éradiquer la frange dangereuse, c'est au final exactement ce qu'ont fait, à leurs yeux, les terroristes. Et l'Histoire montre aussi combien taper sur les gens les fait changer d'opinion... La violence est le dernier refuge de l'incompétence. C'est se résoudre à réagir comme des enfants.
Ceux qui sortent des bêtises comme "il faut ressortir la peine de mort" : avez-vous remarqué que c'est justement une peine très pratiquée par les groupes qui promeuvent ces actions ? Que c'est exactement la peine appliquée par les auteurs de l'acte qui pensent avoir fait justice ? Que c'est justement ça qui nous fait horreur ? Que Charlie Hebdo était contre cette même peine ?
Bref, ne devenons pas comme eux, car c'est exactement ce qu'ils recherchent. Notre plus grande victoire sera de rester nous-mêmes, fidèles à nos idéaux, afin de soigner les causes du problème et non ses symptômes. C'est ici, tout de suite, dans l'épreuve, que nos idéaux humanistes sont testés. C'est maintenant qu'il ne faut pas les perdre, qu'il ne faut pas se perdre.
vendredi 19 décembre 2014
La Quadrature du Net risque de fermer boutique
La Quadrature du Net est au bord de la banqueroute. Pas assez de dons, des citoyens qui s'en tapent, des e-citoyens qui s'en fichent et même des "activistes" online qui font rien alors que, pourtant, ils sont sensiblisés à ces sujets.
J'avoue que, moi même, j'avais donné l'an dernier et pas cette année.
Ce qu'ils font, c'est rien d'autre que tenter de maintenir Internet libre, plutôt que de le voir transformé en combinaison de supermarché, de cauchemar de George Orwell et de terreur nocturne de Franz Kafka.
Si vous lisez ce blog, c'est que le sujet vous intéresse. Allez donc faire un clic et un don sur la bannière à droite de ce billet. Ce sera bien pour tout le monde et ce sera toujours mieux que d'acheter une autre merdouille de Noël au cousin au quatorzième degré. Là, vous faites un cadeau à TOUS.
J'avoue que, moi même, j'avais donné l'an dernier et pas cette année.
Ce qu'ils font, c'est rien d'autre que tenter de maintenir Internet libre, plutôt que de le voir transformé en combinaison de supermarché, de cauchemar de George Orwell et de terreur nocturne de Franz Kafka.
Si vous lisez ce blog, c'est que le sujet vous intéresse. Allez donc faire un clic et un don sur la bannière à droite de ce billet. Ce sera bien pour tout le monde et ce sera toujours mieux que d'acheter une autre merdouille de Noël au cousin au quatorzième degré. Là, vous faites un cadeau à TOUS.
mercredi 10 décembre 2014
Pirate Bay est offline
Bref, comme il le dit mieux que moi, je préfère vous laisser lire un article complet, bien écrit et concis sur le sujet. Allez, allez... La médiocrité intellectuelle de la classe politique, tout pays et partis confondus, de notre époque est sans égale dans toute l'Histoire.
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